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miércoles, 30 de noviembre de 2011

Mitos y leyendas de Nuevo León: Una sirena en Nuevo León



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Esta leyenda de una sirena en la presa de Salinillas del municipio de Anáhuac, NL salió publicada en el libro Leyendas, relatos, costumbres y tradiciones de Nuevo León (2005).






Si buscas más leyendas de Nuevo León, en Amazon está disponible Mitos, cuentos y leyendas de Nuevo León. Regiones Citrícola y Sur, un libro de Homero Adame que contiene exclusivamente relatos de doce municipios neoleoneses, seis de ellos ubicados en la Región Citrícola y, otros seis, en la Región Sur. Está compuesto por tres capítulos: Mitos, Cuentos y Leyendas; este último subdivido por épocas y temas: Leyendas con contenido prehispánico, Leyendas coloniales de santos y vírgenes, Leyendas de aparecidos y fantasmas, Leyendas de brujas y curanderos, Leyendas de cementerios y Leyendas de tesoros. Más aún: en este tratado el autor presenta cada relato recreando el habla de zonas rurales y serranas de Nuevo León, donde se usa un lenguaje sencillo, pero con vocablos y locuciones poco comunes o desconocidas en otras regiones del país o en las urbes.

Cabe destacar que más allá del relato, Homero Adame analiza el contenido de cada leyenda y encuentra simbolismos, hierofanías, elementos teogónicos del pensamiento desde el tiempo mítico y, de tal modo, sitúa a estas regiones neoleonesas en el contexto de la mitología universal.


El ya bestseller Mitos, cuentos y leyendas de Nuevo León. Regiones Citrícola y Sur, está disponible en librerías y también en Amazon, tanto en formato digital (Kindle) como en formato impreso o formato papel.

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jueves, 24 de noviembre de 2011

Légendes mexicaines en français: Le serpent à sept têtes

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LE SERPENT À SEPT TÊTES
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 Légende des Huachichiles
Versión en español: La sierpe de siete cabezas
Lorsque les Espagnols, il y a longtemps, envahirent les territoires de l'Altiplano Potosino –qu'ils considéraient à juste titre comme hostiles– pour fonder leurs villages près des riches mines d'argent, de nombreux clans de Huachichiles décidèrent de se réunir afin de trouver le moyen d'empêcher la progression de leurs envahisseurs.
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Au cours de l'assemblée, ils décidèrent que leurs sorciers travailleraient avec les forces de la Nature de telle manière que les puissantes armées des conquistadors seraient impuissantes.
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A Charcas, à Mexquitic, à Cerro de San Pedro dans l'Etat de San Luis de Potosi, il y avait déjà des colons espagnols dont les armées anéantissaient sans pitié les sauvages autochtones. Les évangélisateurs quant à eux, œuvraient aussi à leur manière, c'est-à-dire, toujours en faveur de la cupide couronne espagnole.
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Durant trois lunes, les sorciers Huachichiles se réunirent dans un endroit désolé de l'Altipano où même le plus aventureux explorateur espagnol ne s'y serait pas aventuré. La magie de ces derniers était puissante c'est pourquoi ils parvinrent à leurs fins. Lorsque la lune rouge d'octobre se leva à l'horizon, on entendit un bruit surnaturel qui paralysa tous ceux qui l'écoutèrent à l'exception des sorciers.
Ils avaient donné vie à un serpent hors du commun avec sept têtes et de redoutables yeux de feu.
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A l'aube, un énorme corbeau solitaire surgit de nulle part. Il fit plusieurs tours dans le ciel et vola vers le sud. Le serpent le suivait. Les sorciers Huachichiles avaient commandé aux forces occultes de la Nature de sorte que le monstre tout juste créé détruisit les villages espagnols. Le corbeau était son guide.
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Là où passa le serpent, ce dernier causa terreur et destruction. Le bruit s'en répandit de toutes parts et de nombreuses armées espagnoles partirent à sa rencontre pensant qu'il s'agissait d'une invention ou d'un simple animal ordinaire. La réalité fut effrayante: ils ne purent vaincre le serpent et personne ne survécut pour raconter ce qui se passa.
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Près de ce qui est maintenant la ville de Solis, dans la municipalité de Villa de Guadalupe dans l'Etat de San Luis de Potosi, un groupe de moines étaient en train de fonder un ermitage dans le but de catéchiser les autochtones et par là même de les protéger des cruels conquistadors.
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Quand ils virent le gigantesque corbeau se diriger vers eux, l'un des moines fit brûler de l'encens, sortit les saintes images de l'ermitage et se dirigea vers l'oiseau mystérieux en vue de l'affronter. Ses compagnons le suivirent.
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Cependant, lorsque ces derniers virent que l'horrible serpent à sept têtes approchait déjà, ils furent épouvantés et abandonnèrent le pauvre moine à son sort.
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Le serpent incendiait tout ce qui se trouvait sur son passage ne laissant dans son sillage que des cendres. Le moine s'agenouilla et se mit à prier, demandant à Dieu de le protéger et d'anéantir ce monstre infernal. Lorsque le corbeau vola au-dessus de sa tête, le moine se mit debout et prononça quelques mots en latin. L'oiseau noir laissa échapper un cri, tomba sur le sol et se transforma en colline.
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Ensuite, le moine récita plusieurs autres prières en latin et le serpent lui lança des regards de feu qui cessèrent en quelques minutes avec la vie de ce dernier.
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Néanmoins, avant qu'il ne meure, le moine dit une dernière prière tandis qu'il exorcisait l'animal de son bras droit levé. Le serpent se transforma également en colline.
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Bien que de nombreuses années se soient écoulées depuis lors et que les Huachichiles aient cessé d'exister que ce soit en tant que tribu qu'en tant qu'individus, de nombreuses personnes se souviennent encore de cet événement et racontent que le serpent devait détruire la capitale du San Luis Potosi ou le village de Charcas. Cependant, grâce à la foi d'un moine, le serpent à sept têtes tout autant que le corbeau furent exorcisés... Mais pas pour toujours...
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La légende raconte que la conjuration un jour expirera et que ces collines reprendront leur forme initiale pour accomplir alors leur destinée.
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Les Huachichiles étaient un groupe ethnique très aguerri et beaucoup d'entre eux vécurent sur les territoires désertiques mexicains, principalement ceux connus sous le nom de l'Altiplano Potosino.
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Bien que l'histoire affirme que grâce à la guerre Chichimeca, il fut possible d’assujettir les Huachichiles, ce qui est sûr c'est que ces derniers ne se laissèrent jamais asservir par les Espagnols ni n'embrassèrent la foi chrétienne.
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Les Huachichiles furent totalement exterminés vers la fin du XIXe siècle et de leur culture, il ne reste seulement que quelques coutumes, appellations toponymiques et légendes.

Vous pouvez lire et écouter cette légende ici:


Cette légende a été publiée dans le livre "Mythes et légendes des Huachichiles" d'Homero Adame lequel, après avoir remporté le Prix National du Conte, Mythe et Légende "Andrès Henestrosa" 2007 - organisé par le Secrétariat à la Culture de l'Etat d'Oaxaca - a été édité par celui-ci en 2008.

Texte et photos: Homero Adame (Avec l'aimable autorisation de l'auteur)
Traduction, audio et vidéo: Cécile Belluard


Musiques:
Musique utilisée comme fond pour la narration
* Butterfly Tea
Titre:
1/Eyes of the darkness (00-1'41)
2/Fire Power (1'42 et 5'15)
Licence de distribution: CC-BY-NC-SA

* Dom the Bear

Titre : The Pink cathedral (3'01)
Licence de distribution: CC-BY-NC-SA

* Musique d'ambiance a la fin de la piste
**SENDA. Titre: «3 minutos»
http://www.jamendo.com/fr/album/76060
In CD "Tras las Huellas"
(Licence de distribution: CC BY 2.5)

** La traduction, la vidéo et la piste en MP3 de cette légende est distribuée sous la Licence CC BY-NC-SA 3.0.

* La piste mp3 peut-être écoutée sur ARCHIVES INTERNET

* La vidéo:
http://www.youtube.com/watch?v=B8Pm5sUoMNg


lunes, 21 de noviembre de 2011

Mitos y leyendas de Nuevo León: Doña Helena, una bruja de La Petaca





“Doña Helena” es una leyenda recopliada en La Petaca, NL y fue originalmente publicada en el libro Mitos, cuentos y leyendas de Nuevo León, de Homero Adame, en 2005.


En 2022, el autor publicó Mitos, cuentos y leyendas de Nuevo León. Regiones Citrícola y Sur, un libro de Homero Adame cuyos antecedentes son Mitos, cuentos y leyendas de Nuevo León, publicado por la Editorial Font, de Monterrey, N.L. en 2005, el cual fue, a su vez, una edición corregida, aumentada y mejorada de Mitos, cuentos y leyendas regionales – tradición oral de Nuevo León, originalmente publicada por Ediciones Castillo en 1998.

Esta nueva edición contiene exclusivamente relatos de doce municipios neoleoneses, seis de ellos ubicados en la Región Citrícola y, otros seis, en la Región Sur. Está compuesto por tres capítulos: 1. Mitos, 2. Cuentos y 3. Leyendas; este último subdivido por épocas y temas: a) Leyendas con contenido prehispánico, b) Leyendas coloniales de santos y vírgenes, c) Leyendas de aparecidos y fantasmas, d) Leyendas de brujas y curanderos, e) Leyendas de cementerios y f) Leyendas de tesoros. Más aún: en este tratado el autor presenta cada relato recreando el habla de zonas rurales y serranas de Nuevo León, donde se usa un lenguaje sencillo, pero con vocablos y locuciones poco comunes o desconocidas en otras regiones del país o en las urbes.

Cabe destacar que más allá del relato, Homero Adame analiza el contenido de cada leyenda y encuentra simbolismos, hierofanías, elementos teogónicos del pensamiento desde el tiempo mítico y, de tal modo, sitúa a estas regiones neoleonesas en el contexto de la mitología universal.

La aclamada obra Mitos, cuentos y leyendas de Nuevo León. Regiones Citrícola y Sur, está disponible en librerías y también en Amazon, tanto en formato digital (Kindle) como en formato impreso o formato papel.

lunes, 14 de noviembre de 2011

Mitos y leyendas potosinas: El pozo del árabe

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EL POZO DEL ÁRABE
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Leyenda de Villa Hidalgo, SLP
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Cuentan los que transitan de Villa Hidalgo al Ejido Veinte de Noviembre o al Valle de San Juan, por necesidad o por andar de más en tertulias a las altas horas de la noche, que al aproximarse al cruce de la vía del ferrocarril México-Tampico, entre El Colorado y dicho cruce, se escuchan ruidos y lamentos. Los lamentos provienen de un viejo pozo que se encuentra a unas decenas de metros al sur del camino, hoy día escondido entre los matorrales que ya han crecido hasta encima de las viejas tapias de piedra, en lo que eran atarjeas y una pileta. Allí quedó sepultado un árabe que mercaba ropa y diversos productos en las rancherías de la región, viajaba siempre con el tren. En la estación del pozo abordó el tren que lo condujo al más allá, cuando fue asesinado y arrojado al fondo de esta noria. Si el motivo de este crimen fue sólo el robo o si existió de por medio algún otro agravio, nunca se supo; tampoco se llegó a conocer con certeza quién o quiénes le dieron muerte. Esto ocurrió allá por los años cuarentas y horrible habrá sido su muerte o muchos los pendientes que dejó en esta vida, ya que se resiste a descansar en paz y sigue penando en ese lugar. Lugar que impone y transmite extrañas vibraciones aún sin que se dejen escuchar los lamentos, pues debo relatar aquí que cuando he visitado este sitio con mi caballo, éste se resiste a acercarse y se trata de alejar lo más pronto posible.
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Y que me dicen de la Mesa de Chagoya, que está por el mismo rumbo, cruzando las vías. Allí, según relatan los que han vivido esta experiencia, se escuchan gritos, correr de caballos y hasta los plomazos. Este es el sitio, según dicen, de otro fabuloso tesoro enterrado. Vaya ruta por la que transitan los amigos del Veinte de Noviembre a pie o en bicicleta, o los que en bestia se trasladan con el rumbo de Tanque de Luna o Presita de la Cruz.
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Esta leyenda fue publicada en el libro Picachos, Villa Hidalgo, S.L.P. Monografía y recuerdos, de José Rafael Barboza Gudiño. Universidad Autónoma de San Luis Potosí. SLP. 2011.
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Se ha publicado en este blog con autorización del autor.

miércoles, 9 de noviembre de 2011

Nombres de las lunas llenas en el año

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NOMBRES DE LAS LUNAS LLENAS EN EL AÑO
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¿Sabías que de acuerdo con las tradiciones de los pueblos agrícolas o cazadores a las lunas llenas se les asignan ciertos nombres?
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Las tribus de América del Norte –entre las cuales se incluyen los kikapúes y los mascogos que en invierno instalan sus campamentos en determinados lugares de Coahuila– tienen diferentes nombres para las lunas del año, según los ciclos agrícolas o de caza. Veamos cuáles son para así darnos una idea de cómo son sus tradiciones:
  • Luna llena de enero: Luna del lobo
  • Luna llena de febrero: Luna de la nieve
  • Luna llena de marzo: Luna de los gusanos
  • Luna llena de abril: Luna rosa
  • Luna llena de mayo: Luna de las flores
  • Luna llena de junio: Luna de las fresas (para los europeos es la luna rosa)
  • Luna llena de julio: Luna del macho (en referencia al género animal)
  • Luna llena de agosto: Luna del esturión
  • Luna llena de septiembre: Luna de las cosechas
  • Luna llena de octubre: Luna de los cazadores
A esta luna se la dan muchas interpretaciones. Para las tribus cazadoras del norte siempre ha significado buenas presas que les ayudarán a sobrevivir el largo invierno.
En México, a esta luna se le llama así no sólo por la cacería sino porque es una luna con tonalidades rojizas como de sangre y los magos y brujos sacan provecho de ella para ciertos rituales muy importantes.
  • Luna llena de noviembre: Luna de los castores (también conocida como la luna de las heladas)
  • Luna llena de diciembre: Luna del frío
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viernes, 4 de noviembre de 2011

Légendes mexicaines en français: Un bien joyeux village

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UN BIEN JOYEUX VILLAGE
Légende entendue dans la Sierra d’Iturbide
dans l’Etat de Nuevo León au Mexique
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Versión en español de la leyenda "El pueblo festivo"
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Voici ce qui est arrivé à un homme qui m’a lui-même raconté cette histoire. Il m’a dit qu’un après-midi, lui et son ami, allaient à cheval sur un chemin de la Sierra lorsqu’ils entendirent des rires et des chansons. Tous deux s’arrêtèrent pour regarder derrière eux et se rendirent compte que les chevaux devenaient nerveux. L’homme se souvint alors d’une histoire fantastique et la narra à son ami mais celui-ci lui répondit que ce n’était que pures mensonges car ce qu’ils étaient en train de voir était aussi réel qu’ils l’étaient eux-mêmes. Le premier argua qu’ils avaient passé des milliers de fois par ici et que jamais ils n’avaient vu ce village. C’est pourquoi ce qu’ils voyaient maintenant ne pouvait être que l’œuvre du Diable lui-même. Son ami n’en tint pas compte tant il était absorbé par les images qui s’offraient à ses yeux.
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Rapidement, deux belles femmes s’approchèrent et, de leur voix mélodieuse, les invitèrent à se joindre à la fête. Don Toño, qui m’a raconté cette histoire, dit à son ami Pedro qu’il leur fallait s’éloigner et ne pas écouter ces femmes. Cependant, Pedro descendit de cheval et marcha en direction de celles-ci sans prêter attention aux conseils de son ami.
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Les femmes supplièrent Don Toño de les accompagner également. Il fut à deux pas de céder à la tentation mais il se ressaisit et mieux encore, s’enfuit à cheval, laissant derrière lui son ami, ces visions surnaturelles et l’autre cheval. Alors qu’il était au loin, il pouvait entendre la musique, les rires indécents et les appels des femmes. Et de Pedro, il n’eut plus jamais de nouvelles.
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Le troisième jour, son cheval arriva seul et affamé; il ne mangea rien, se laissant mourir de tristesse et de faim.
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Mais l’histoire ne se termine pas là... Selon les dires de Don Toño, dès l’enfance il avait entendu parler de cette curieuse légende de la bouche même de son grand-père. Le vieil homme disait que deux de ses amis avaient vu ce même joyeux village et que tous deux avaient accepté l’invitation des deux très belles femmes. Elles les conduisirent à la fête où se trouvaient là des personnes de tous âges, mais point d’enfants. Parmi la foule, l’un d’entre eux crut reconnaître un homme qui était porté disparu depuis de nombreuses années mais il ne put l’assurer.
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La fête était une vraie orgie. Hommes et femmes dansaient jusqu’à l’épuisement et tout le monde buvait du vin en grande quantité. On offrit à ces derniers du vin. Lui refusa tandis que l’autre accepta. Il leur fut aussi servi les plus appétissants mets qu’ils n’aient jamais vus jusqu’alors mais il ne mangea point parce qu’il était vraiment effrayé. Ensuite, l’une des femmes s’approcha de lui et tenta de le séduire mais sa peur était forte et il ne succomba pas à la tentation bien que celle-ci fut grande, la femme commençant à se dévêtir. Il fit montre cependant d’une grande volonté et cela même alors qu’il voyait la manière dont son ami prenait simultanément du bon temps avec les deux femmes et que d’autres s’adonnaient sans retenue au plaisir.
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Au bout d’un moment, et en raison de la fatigue, il s’endormit et s’éveilla au point du jour. Les chevaux étaient toujours là mais il ne vit aucune trace de son ami ni du village qu’il avait cru avoir vu. Il remonta à cheval et galopa jusqu’au ranch où il raconta son histoire à tout le monde. Ils le crurent tous car, depuis toujours, on avait entendu parler d’hommes et de femmes disparus en cette partie de la Sierra pour avoir vu un bien joyeux village et avoir accepté les invitations que les gens de là-bas leur avaient faites. On n’entendit plus parler de son ami. Il disparut de ce monde.
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Selon Don Toño, ce vieil ami de son grand-père fut le seul qui réussit à ne pas rester prisonnier de cette vision surnaturelle parce qu’il avait refusé de boire du vin, de manger un morceau et de s’adonner aux plaisirs. En d’autres mots: n’ayant pas succombé à la tentation, il vécut pour raconter tout ceci.
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Commentaire d’ Homero Adame sur la légende intitulée
«Un bien joyeux village»
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Dans de nombreuses parties du monde ainsi qu’au Mexique, on raconte des histoires de villages surnaturels qui n’apparaissent à nos sens qu’en certaines occasions ou à une date donnée. Les mirages ou les visions dans le désert du Sahara dans lesquels on parle de l’existence de villages surnaturels ne se révélant à nos sens que tous les 100 ans en sont un parfait exemple.
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Dans un contexte plus régional, on raconte que sur un authentique chemin de la Sierra Madre Orientale, certains jours bien déterminés, on peut entendre de la musique très mélodieuse mais aussi des voix et des rires. Les sons semblent surgir de derrière ou sur la droite de celui qui les perçoit. S’il ose se retourner, il verra qu’une véritable fête est en train d’avoir lieu. Pour le cas où une personne serait à cheval, ce dernier se montrera inquiet et voudra fuir, refusant d’obéir aux ordres de son cavalier si celui-ci tente de se diriger vers la fête.
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Il est recommandé de ne pas regarder derrière soi, d’ignorer les sons accueillants et de poursuivre de préférence sa route. Toutefois, si la curiosité est grande, que la personne se retourne, qu’elle assiste à la scène, voici ce qu’elle doit faire: s’éloigner immédiatement et ne pas accepter les tentations qui lui sont offertes parce que, dans le cas contraire, elle restera prisonnière de ce monde comme ceci est suggéré dans cette version racontée par Don Demetrio Velázquez, au cours d’une promenade que nous fîmes dans la Sierra.
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Vous pouvez lire et écouter cette légende ici:

Cette légende a été publiée dans le livre d’ Homero Adame Mitos, cuentos y leyendas de Nuevo León (Mythes, contes et légendes de Nuevo León). Editorial Font. Monterrey, N. L. 2005. 
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Et peut être lue sur son blog: Mitos, leyendas y tradiciones de México (Mythes, légendes et traditions du Mexique).
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Légende recueillie par Homero Adame 
Traduction: Cécile Belluard
Relecture: Noële Belluard-Blondel
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Notes:
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1. Musique utilisée comme fond pour la narration:
*Torogchu. Titres: ”Ya veremos quién es quién” / “Los majestuosos 5 - al rey de villa robles“/ “Soy gaucho santiagueño“/ “Tecleando chamme maceta
In CDChamame (Licence de distribution: CC BY 2.5)
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2. Musique d’ambiance à la fin de la piste:
*Senda. Titre: “La cuñadita”
http://www.jamendo.com/fr/album/76060
In CD “Tras las huellas” (Licence de distribution: CC BY 2.5)
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3. La piste MP3 de cette légende est distribuée sous la Licence CC BY-NC-SA 3.0.
http://www.archive.org/details/UnBienJoyeuxVillage


martes, 1 de noviembre de 2011

Anécdotas de funerales: ¡Salió del ataúd en plena procesión!

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UN MUERTO QUE RESUCITA
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 Sucedido en San Luis Potosí
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Nota publicada en el periódico “El Informador” de Guadalajara
el 31 de octubre, 1918
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Tema de las conversaciones durante estos días ha sido un hecho curioso ocurrido en la mañana del día 26 en el camino que lleva al cementerio, y que ha sido comentado por los chuscos como “una nueva Resurrección de Lázaro.”
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Diariamente pasan por la calle de Libertad, fúnebres comitivas acompañando carrozas elegantes o humildes ataúdes que llevan cadáveres de las víctimas de la “influenza española” rumbo al panteón del Saucito. El hecho, tomado ya como algo común y corriente, no extraña ya a los vecinos de aquel rumbo, pero lo que les sorprendió sobremanera, fue que uno de los “cadáveres”, después de una breve lucha sostenida a puñetazos con la tapa de su caja mortuoria, saltó de su estrecha prisión, y echó a correr por la calle, mesándose de los cabellos como en un supremo espasmo de locura.
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El pánico que se apoderó de los cuatro individuos que cargaban en hombros al “muerto”, así como de la comitiva que acompañaba el féretro, no es para describirlo. Uno de los deudos que antes lloraba sin consuelo camino del cementerio, sufrió un síncope del que fue muy difícil salvarlo.
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Los demás dolientes y amigos del “cadáver” corrían en todas direcciones buscando dónde meterse, y algunas viejecillas se prosternaron en mitad de la calle, para elevar sus preces al Omnipotente, en la inteligencia de que se trataba de algún milagro del cielo.
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Después se vino la conclusión de que el considerado como muerto, en la crisis de la influenza y después de abundante hemorragia por la boca y la nariz, sufrió un fuerte desmayo, que sus deudos, en medio de su dolor, tomaron por una muerte segura.
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Esta historia fue encontrada en la hemeroteca de El informador por Enlaces culturales y subida a su página de FaceBook. Se anexó en este blog con su autorización.
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Enlaces culturales tiene también una página web donde transmiten programas radiofónicos relacionados con nuestras costumbres y tradiciones: http://enlacesculturales.org
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